La Légende de Umbraël

Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Fan de surnaturel, nous nous efforçons de trouver des pistes concernant la légende D'Umbraël le mystérieux manoir abandonnée depuis désormais de nombreux siècle .

-36%
Le deal à ne pas rater :
Aspirateur balai sans fil Dyson V8 Origin
254.99 € 399.01 €
Voir le deal

    Le Paranormal

    Admin
    Admin
    Admin


    Messages : 73
    Date d'inscription : 02/10/2024

    Le Paranormal Empty Le Paranormal

    Message par Admin Lun 21 Oct 2024 - 8:38

    Le paranormal est un terme utilisé pour qualifier un ensemble de phénomènes supposés qui ne sont ni observables, ni explicables scientifiquement. Ces phénomènes paranormaux sont l'objet d'étude de la parapsychologie1. Le préfixe « para » désignant quelque chose qui est à côté, en marge de la « normale », laquelle peut faire référence au consensus scientifique ou la normalité. Puisque ces dits phénomènes n'ont aucune preuve d'existence, l'imagination et les suppositions ont le champ libre2.

    Les initiateurs de la parapsychologie se sont donné comme objectif d'étudier d'une manière scientifique ce qu'ils considèrent comme des perceptions extra-sensorielles et de la psychokinèse. Malgré l'existence de laboratoires de parapsychologie dans certaines universités, notamment en Grande-Bretagne, mais aussi en France, le paranormal peut être considéré comme un sujet d'étude peu sérieux, et la parapsychologie une pseudo-science.

    Le paranormal est parfois associé à des activités lucratives, comme lors du salon spécialisé « Paranormal Salon »3.

    Phénomènes dits paranormaux

    Il existe un ensemble de phénomènes supposés qui sont qualifiés de paranormaux :

    le concept de Psi est un concept utilisé en parapsychologie et qui regroupe à la fois les phénomènes de perceptions extra-sensorielles (PES) (télépathies, prémonitions, etc.) et la psychokinèse ;

    le magnétisme dit « animal », la géobiologie, la divination (cartomancie, voyance) ;

    les expériences de mort imminente (qui désignent, selon les tenants du paranormal, des souvenirs de vécus spécifiques lors de mort clinique, nous noterons toutefois que ce domaine improprement nommé n'est pas considéré comme paranormal par les neuroscientifiques);

    les différents moyens de communication avec les morts : (médiumnité, nécromancie), les voix électroniques5 ; le Ouija ; l'écriture automatique ;
    les apparitions de l'au-delà (fantômes, revenants, ectoplasmes, poltergeists, guide spirituel, vision de « l'après-vie », esprits, fantômes de Marie, etc. ;

    les cas de maisons hantées ou d'obsession par des « génies » ou « esprits » ;

    le phénomène ovni et ses dérivés (cercle de culture).

    Le paranormal, dont les causes sont inexpliquées, peut être différencié du surnaturel dont les causes sont des entités spirituelles (dieu(x), diable, démons, djinns, esprits, etc.).

    Théories

    Les anciens Grecs avançaient déjà des hypothèses sur ce qui serait paranormal.
    Les pythagoriciens croient l'air empli de démons.
    Démocrite expliquait les rêves par la pénétration au travers des pores du rêveur des « images » qui sont continuellement émises par des objets, dont les personnes vivantes. Il croyait aussi que les images véhiculent des représentations de l'activité mentale, des pensées, des caractères et des émotions des personnes qui leur ont donné naissance et, chargées de la sorte, elles ont le même effet que les agents vivants.
    Platon expliquait la divination par la « folie divine ».
    Il existe quatre « folies » : amoureuse, poétique, mystique et prophétique (Phèdre, 244 sq.).
    L'heure Du Sacrifice Arrive .
    Il associe la divination et l'âme irrationnelle (Phèdre, 242c ; Timée, 71de). Aristote a changé de vues sur le sujet.
    Jeune et proche de Platon, dans le dialogue Sur la philosophie (fragment Ross 12a), Aristote admet la précognition et suit Platon en l'attribuant à une capacité innée de l'âme, qu'elle s'exerce soit quand elle se retire du corps lors du sommeil, soit quand elle s'apprête à abandonner le corps à la mort.
    Dans Éthique à Eudème, il fait remonter le succès dans la divination à une source irrationnelle « supérieure à l'esprit et à la délibération » ; il associe la capacité de l'esprit à faire des rêves véridiques au tempérament mélancolique (124a38).
    Dans sa Poétique (145b5) il tient la divination pour un don des dieux.
    Dans son dernier essai sur le paranormal, De la divination par les songes (464a), Aristote avance une théorie non atomiste, celle de stimuli externes transmis par des ondes, théorie fondée sur une analogie avec les perturbations qui se propagent dans l'eau ou dans l'air.

    Les stoïciens défendent le panpsychisme. Le monde est un mélange total (krâsis di'holôn) d'un principe passif et d'un principe actif, tous deux corporels. Le principe actif est souffle, esprit (pneûma), cause, dieu, raison (logos), destin.
    Les stoïciens développent la théorie des sympathies et du destin. Poseidonios mêle les théories : innéisme, animisme, providentialisme. « Posidonius est d'avis que les hommes rêvent sous l'action des dieux de trois manières.
    D'une part, l'âme prophétise d'elle-même du fait de ses affinités avec les dieux.
    De plus, l'air est plein d'âmes immortelles, sur lesquelles apparaissent comme de claires empreintes de la vérité.
    Enfin, les dieux s'entretiennent eux-mêmes avec le mortel endormi » (Cicéron, De la divination, I, 59). Plutarque, examinant le « démon » de Socrate, émet l'hypothèse que les êtres spirituels, quand ils pensent, provoquent des vibrations dans l'air qui permettent à d'autres êtres spirituels, ainsi qu'à certains êtres doués d'une sensibilité hors du commun, d'appréhender leurs pensées. Plotin reprend la théorie des sympathies, sans le matérialisme stoïcien. Durant le Moyen Âge chrétien, le paranormal est lié aux démons, au diable. Dès 150, saint Justin attribue la magie et la divination aux démons (Apologies, I, 5).
    Paracelse avance des hypothèses multiples et embrouillées, dont celle de « lumière astrale ». Franz-Anton Mesmer, en 1779, développe la théorie du magnétisme animal. Il existerait « une influence mutuelle entre les corps célestes, la terre et les corps animés ».

    Une fameuse querelle, en 1884, oppose deux médecins, Jean Martin Charcot, professeur à la Salpêtrière de Paris, à Hippolyte Bernheim, de Nancy.
    Charcot admet l'hypnotisme. Bernheim tient l'hypnotisme pour une simple suggestion acceptée par le cerveau.
    Un grand théoricien paraît avec Frédéric W. H. Myers, auteur de La Personnalité humaine (1903, trad. abrégée 1905).
    Il émet l'opinion qu'un courant de conscience roule au-dedans de nous, au-dessous du seuil de la vie ordinaire, et que cette conscience embrasse des pouvoirs inconnus, dont les phénomènes hypnotiques nous offrent un premier exemple.
    Avec Allan Kardec, le spiritisme propose sa propre conception du paranormal, centrée sur les esprits des défunts. Le livre des esprits date de 1857.
    La métapsychique commence avec William Crookes, prix Nobel de chimie 1907.
    On lui doit Experimental investigations on psychic force (1871), trad.
    Recherches sur les phénomènes du spiritualisme (1878). Le 20 février 1882 est fondée la Society for Psychical Research, avec F. Myers, C. C. Massey, le philosophe Henry Sidgwick. La parapsychologie naît en 1934 avec Joseph Banks Rhine, et une méthode expérimentale plus rigoureuse. Rhine crée l'expression « perception extra-sensorielle ».

    Plusieurs savants, dont Olivier Costa de Beauregard lors du fameux colloque Science et conscience à Cordoue en 1979, cherchent du côté de la physique quantique. Ils retiennent du quantisme son indéterminisme, l'interaction entre observateur et observé (relations d'incertitude de Heisenberg), le paradoxe EPR (Einstein, Podolski, Rosen, 1935).
    Selon Rupert Sheldrake, l’esprit ne s’identifie pas avec le cerveau, mais s’étend au-delà de l’organe physique sous la forme d’un champ de perception produit par l’activité cérébrale. L’esprit est enraciné dans le cerveau mais n’y reste pas confiné et constitue un champ sensible qui interagit avec l’environnement. S’il en est ainsi, l’objet vu ne peut manquer d’être influencé par cette observation, ce qui est effectivement vérifié par l’expérience.
    Or, il s’agit là, d’une forme de communication, habituellement qualifiée par Joseph Rhine d’« extrasensorielle » (1934).
    Les expériences présentées par R. Sheldrake dans son dernier livre Le Septième Sens (2006) confirmeraient que l’homme est capable de percevoir le « poids » d’un regard dirigé sur lui, même à travers une vitre, dans le reflet d’un miroir ou par l’intermédiaire d’un circuit vidéo.
    Il rapproche le concept de télépathie des mouvements de groupes d’animaux (bancs de poissons ou vols d’oiseaux).
    Sheldrake pense que ces groupes baignent dans un même champ de conscience, selon le modèle morphogénétique, qui les unit par ce même type de sensibilité qui nous fait percevoir le regard d’autrui pose sur nous.

    Point de vue de la communauté scientifique

    La communauté scientifique peut considérer l'étude des phénomènes paranormaux comme de la pseudo-science. Toutefois, longtemps marginalisée, l’étude des expériences inexpliquées trouve désormais une place dans les milieux académiques, avec des recherches en conditions expérimentales et contrôlées, notamment dans les domaines de la psychologie cognitive et des neurosciences.
    Le scepticisme, la zététique, et l'approche scientifique rappellent la nécessité de démontrer de l'existence de tels phénomènes. Aucun prétendu détenteur de pouvoirs paranormaux n'a pu remporter le défi zététique international et à ce jour, il n'a jamais pu être démontré que ces phénomènes ou ses pouvoirs, hors de ce que la science pourrait démontrer, existaient.
    Faute de démonstration scientifiquement fiable, il s'agit de croyances en l'existence de phénomènes paranormaux, ou bien simplement d'erreurs de jugement ou de perception. Les ressorts psychologiques des réactions d’individus face au paranormal sont étudiés.

    La mesure des croyances dans le paranormal pour la recherche scientifique

    Afin de mesurer les croyances paranormales il existe notamment en langue anglaise la Paranormal Belief Scale de Tobacyk & Milford (1983).
    Cette échelle fut révisée en 2004 par Tobacyk16, puis traduite et validée en français en 2014 par Bouvet, Djeriouat, Goutaudier, & Chabrol.
    Cette échelle auto-rapportée de croyance paranormale révisée permet la mesure de 7 dimensions : la spiritualité, relative aux croyances en une vie antérieure et aux pouvoirs de l’esprit - la superstition - la sorcellerie - la précognition (phénomène parapsychologique qui consisterait à connaître ce qui va arriver dans le futur, renvoi en une capacité prémonitoire) - les croyances religieuses traditionnelles - la dimension Psi, désignant l’ensemble des croyances liées au pouvoir psychique sur l’environnement - la dimension forme de vie extraordinaires, relatives à la croyance en l’existence de créatures comme le monstre du Loch Ness.

    La passation de cette échelle avec vingt-quatre questions apparaît rapide, bien tolérée par les sujets et fiable. La RPSB (Revised paranormal scale belief) est le questionnaire le plus utilisé dans les études sur les croyances paranormales dans les dernières décennies.
    Les questions sont par exemple : « l'âme continue d'exister après la mort physique », « Le diable existe », « Il est possible de communiquer avec les morts »…

    Les auteurs de la validation française concluent que cette étude permet de valider des observations antérieures qui faisaient l’hypothèse que la tendance à la schizothypie est un indicateur de la croyance dans les phénomènes paranormaux. Les auteurs postulent donc que les croyances paranormales peuvent sous-tendre un trouble de personnalité schizotypique. Précisons ici que le trouble de personnalité schizotypique selon les critères du DSM-V est à différencier de la schizophrénie, bien qu’elle puisse en constituer un état pré-morbide et partage avec elle un certain nombre d’anomalies cérébrales. Dans le trouble de la personnalité schizotypique, les expériences cognitives reflètent un éloignement floride de la réalité (idées de référence, paranoïdes, hallucinations corporelles, pensées magiques) avec une certaine désorganisation de la pensée et de la parole, associées à un haut niveau de méfiance, et la croyance que les autres cherchent à lui nuire.

    Au-delà de la pathologisation, les auteurs postulent que l’échelle de croyance paranormale révisée est aussi utile dans les recherches en parapsychologies sur la transliminalité, concept rapporté par Thalbourne (2010) et déjà proposé par Usher et Burt (1909), désignant les différences interindividuelles en termes d’hypersensibilité psychique à des phénomènes paranormaux. Champs de recherches où les croyances dans le paranormal ne sont pas étudiées uniquement dans le champ de la pathologie mentale, mais aussi dans celui d’expériences accessibles à certains individus, en mesure d’utiliser des capacités présentes chez tous les êtres humains.



    Admin
    Admin
    Admin


    Messages : 73
    Date d'inscription : 02/10/2024

    Le Paranormal Empty Re: Le Paranormal

    Message par Admin Mar 22 Oct 2024 - 16:10

    La magie ?

    La magie noire réfère traditionnellement à l'utilisation du surnaturel ou de pouvoirs magiques à des fins maléfiques ou égoïstes. Du point de vue de la voie de la main gauche et de la main droite, la magie noire est le côté gauche malveillant, la magie blanche est la main droite, le côté bienveillant. De nos jours, certains trouvent que la définition de la « magie noire » n'est que la compilation des pratiques et rituels que certaines personnes réprouvent, n'ayant donc comme unique point commun, le point de vue de certains utilisateurs.

    De la même manière que la magie blanche, les origines de la magie noire peuvent être attribuées au culte primitif et ritualiste des esprits3. À l'inverse de la magie blanche, qui possède des rituels similaires aux rituels primitifs chamaniques qui s'efforcent d'être au plus près des esprits, les rituels développés pour la « magie noire » sont faits pour invoquer ces mêmes esprits pour qu'ils produisent des résultats bénéfiques pour le praticien.

    Au cours de la Renaissance, de nombreuses pratiques magiques et rituels ont été considérées comme mauvaises ou irréligieuses et par extension comme de la « magie noire » au sens large. La sorcellerie et les études de l'ésotérisme ne suivant pas les pratiques courantes ont été interdites et ciblées par l'Inquisition4. En conséquence, la magie naturelle développée comme un moyen pour les penseurs et les intellectuels, comme Marsile Ficin, l'abbé Johannes Trithemius et Heinrich Cornelius Agrippa, de faire avancer l'ésotérisme et les études ritualistes (bien qu'encore souvent en secret), ont été faites sans persécution.

    Alors que la « magie naturelle » est devenue populaire parmi les gens cultivés et les classes supérieures du 16e et 17e siècle, les rituels magiques et la magie folklorique sont restés soumis à la persécution. Montague Summers, un auteur du 20e siècle, rejette généralement les définitions de magie « blanche » et  « noire » comme étant « contradictoire », bien qu'il souligne dans quelle mesure la magie en général, indépendamment de l'intention, est considérée comme "noire" et cite les instructions posthumes de 1608 de William Perkins :

    « All witches "convicted by the Magistrate" should be executed. He allows no exception and under this condemnation fall "all Diviners, Charmers, Jugglers, all Wizards, commonly called wise men or wise women". All those purported "good Witches which do not hurt but good, which do not spoil and destroy, but save and deliver" should come under the extreme sentence. »

    « Toutes les sorcières "condamnées par le magistrat" doivent être exécutées. Cela ne souffre aucune exception et sous cette condamnation tombent "tous les devins, charmeurs, jongleurs, tous les sorciers, communément appelés les sages". Toutes ces prétendues "bonnes sorcières qui ne font pas de mal mais du bien, qui n'abiment ni ne détruisent rien, mais qui sauvent et délivrent" devraient être condamnées à une peine capitale. »


    Ici, les termes utilisés sont plus souvent réservés à ceux qui sont accusés d'invoquer des démons et autres esprits maléfiques, de maudire leurs voisins, de détruire les récoltes, de sortir de leurs corps terrestres, ou de parcourir de grandes distances en tant qu'esprit (à qui le Malleus Maleficarum « consacre un long et important chapitre »). Il donne l'instruction de tous leur infliger la sentence extrême. Montague Summers mets également en lumière la signification étymologique du terme nigromancer, utilisé entre 1200 et 1500, (latin : Niger, noir; grec moderne : Manteia, divination), littéralement "une personne qualifiée en art noirs".

    Dans un contexte moderne, la ligne entre la « magie blanche » et la « magie noire » est un peu plus claire et les définitions les plus modernes mettent l'accent sur l'intention plutôt que la pratique. Il y a également une mesure à laquelle de nombreux pratiquants modernes de Wicca et de la sorcellerie, ont cherché à se distancier de ceux qui voulaient pratiquer la magie noire. En effet, ceux qui cherchent à faire du mal, ou faire le mal, sont moins susceptibles d'être acceptés dans le cercle des Wicca ou des sabbats surtout à notre époque où la magie bienveillante est de plus en plus associée à la nouvelle ère gnosticisme et à l'auto-assistance spirituelle.


    Satanisme et dévotion aux démons

    L'influence de la culture populaire a permis à d'autres pratiques d'être mises sous la bannière de « magie noire », dont le concept de Satanisme. Alors que l'invocation des démons ou des esprits est acceptée comme faisant partie de la magie noire, cette pratique est distinct du culte ou de la déification de ces êtres spirituels. Les deux sont généralement combinés dans la sorcellerie dans les croyances médiévales.

    Ces lignes, continuent d'être brouillées par l'inclusion de rituels spirituels faits par les « magiciens blancs » en complément du travail en rapport avec le Satanisme. Les rituels de John Dee, datant du XVIe siècle, par exemple, ont été inclus dans La Bible satanique d'Anton LaVey's (1969) et certaines de ses pratiques, avant considérées comme de la magie blanche, ont depuis été associées à la magie noire. Les rituels de John Dee eux-mêmes ont été conçus pour communiquer avec les esprits en général et les anges en particulier, qu'il prétendait avoir été fait avec l'aide de son collègue Edward Kelley. La Bible de LaVey, cependant, entre en « complète contradiction » avec les intentions de Dee, mais offre les mêmes rituels comme moyen de contact avec les mauvais esprits et les démons. L'Église de Satan de Lavey (avec la Bible satanique en son centre), « nie officiellement l'efficacité des rituels occultes » mais « affirme la valeur subjective et psychologique de la pratique des rituels », établissant une distinction claire entre les deux. LaVey lui-même a été plus précis:

    « White magic is supposedly utilized only for good or unselfish purposes, and black magic, we are told, is used only for selfish or "evil" reasons. Satanism draws no such dividing line. Magic is magic, be it used to help or hinder. The Satanist, being the magician, should have the ability to decide what is just, and then apply the powers of magic to attain his goals. »

    « Satanism is not a white light religion; it is a religion of the flesh, the mundane, the carnal - all of which are ruled by Satan, the personification of the Left Hand Path. »

    La dernière citation, cependant, semble avoir été dirigée vers la tendance grandissante qu'était le Wiccanisme et le néo-paganisme à l'époque.

    Chamanisme

    Dans certaines régions, il y a de prétendus sorciers maléfiques qui se présentent comme de vrais chamans et qui attirent les touristes et leur font boire l'ayahuasca en leur présence. Les chamans font ça puisqu'ils croient qu'ils peuvent voler l'énergie et/ou la puissance, dont chaque personne aurait un stock limité.

    Vaudou

    Le vaudou a été associé à la « magie noire » moderne, par le biais de la culture populaire et la fiction. Cependant, alors que les malédictions et les maléfices peuvent être regardés comme des pratiques relevant de la magie noire, le Vaudou a sa propre histoire et ses traditions qui ont peu à voir avec les traditions de la sorcellerie moderne qui se sont développées avec les pratiquants européens comme Gerald Gardner et Aleister Crowley.

    En fait, les traditions Vaudou font leur propre distinction entre la magie noire et blanche, avec des sorciers comme le Bokor connu pour faire l'utilisation de la magie et des rituels des deux côtés. Mais le penchant pour la magie associée aux malédictions, poisons et zombies signifie qu'ils, et que le Vaudou en général, sont régulièrement associés à la magie noire.

    Magie noire et religion

    Les liens et l'interaction entre la magie noire et la religion sont nombreux et variés. Au-delà des liens de la magie noire avec des organismes sataniques ou de sa persécution historique par le christianisme et l'inquisition, il y a des liens entre les religions et les rituels de magie noire. La Messe noire, par exemple, est un sacrilège parodique de la messe catholique. De même, un saining, bien qu'au départ une pratique de magie blanche, est un rituel Wiccan analogue à un baptême pour un bébé.

    Étienne Guibourg, un prêtre du 17e siècle, aurait réalisé une série de messes noires avec une prétendue sorcière Catherine Monvoisin pour Madame de Montespan.

    Magie noire en islam

    La magie noire est mentionnée dans le Coran, une seule fois. Dans la sourate al-Baqara (la Vache), le Coran parle de l'histoire de Harout et de Marout. Deux anges, descendus vers un peuple pour les protéger contre la magie noire des Démons.

    Le Coran attribue le titre " Impie et incroyant " à ceux qui pratiquent la sorcellerie et la magie noire. Ce verset confirme que la magie noire existe et qu'elle est détestable en islam.

    Dans l'Islam, al-Fatiha, al-Falaq, al-Nas et d'autres Sourates sont récités pour se protéger contre la sorcellerie. En outre, à l'aide d'un Taweeth contenant certains des 99 Noms d'Allah, les versets Coraniques ont été utilisés pendant des siècles et ont des origines dans le Hadith.

    Pratiques et rituels

    Au cours de sa période d'étude, A. E. Waite fournit un compte rendu complet des pratiques de la magie noire, de rituels et de traditions dans The Book of Black Magic and Ceremonial Magic. D'autres pratiquants ont développé ces idées et ont offert leurs propres listes complètes des rituels et des concepts.

    Les pratiques et les rituels de la magie noire incluent :

    Les sorts des véritables noms, la théorie que savoir le véritable nom d'une personne permet d'avoir le contrôle sur cette personne. Cela peut aussi être utilisé pour être connecté à l'autre personne, ou la libérer d'autres compulsions, c'est donc une zone grise (qui peut être vue comme magie blanche ou noire).

    Les rituels d'immortalité, à partir du point de vue Taoïste, la vie est finie, et être désireux de vivre au-delà du naturel n'est pas en accord avec les lois de la nature. Au-delà de cela, il y a un problème majeur avec l'immortalité. En raison de la nécessité de tester les résultats, les sujets doivent être tués. Même un sort pour prolonger la durée de vie ne peut pas être tout à fait bien, surtout si elle puise l'énergie de la vie d'un autre pour maintenir les effets du sort.[réf. nécessaire]

    La nécromancie, n'est pas obligatoirement définie en tant que magie noire, mais comme toute magie qui a un rapport avec la mort elle-même, soit par le biais de la divination des entrailles, ou l'acte d'élever le corps, par opposition à la résurrection ou de la RCR15.

    Les malédictions et les maléfices, une malédiction peut être aussi simple que souhaiter que quelque chose de mal arrive à quelqu'un, ou aussi compliqué que d'effectuer un rite complexe pour s'assurer que quelqu'un meurt.

    Malédiction

    Une malédiction est un état de malheur inéluctable qui semble imposé par une divinité, un sort maléfique, jeté sur un individu ou une communauté, ou le destin.

    La malédiction est aussi un rituel appelant les puissances divines à exercer leur action punitive contre un individu ou un groupe d'individus, objet de cette malédiction.

    Une malédiction agit comme un envoûtement « négatif », un malheur qui agit sur une réputation, qui fait que les autres vont se méfier de cette personne et craindre de la fréquenter face à la possibilité, voir au risque d'avoir à partager ce malheur.

    Diverses malédictions

    Malédictions historiques

    Malédiction du pharaon.
    Malédiction de Tecumseh en 1811 qui porte sur tous les présidents américains élus lors d'une année divisible par.

    Malédictions à caractère religieux

    Damnatio memoriae prononcée contre certains empereurs romains.
    Malédictions prononcées contre Yitzhak Rabin et contre Ariel Sharon par des rabbins extrémistes.

    Malédictions « médiatiques »

    Ces anecdotes utilisées par des médias sensationnalistes rencontrent un public d'ésotérisme. Une présentation orientée de quelques coïncidences (plusieurs décès) relevées dans un contexte morbide (momie, assassinat), "expliqués" par une thèse de malédiction occulte ou de complot peuvent parfois suffire à créer une légende. Citons dans l'ordre chronologique :

    Malédiction de Toutânkhamon, forgée en 1923 par un journaliste anglais après le décès de Lord Carnarvon, vieillard maladif.
    Malédiction des Kennedy.
    Malédiction d'Ötzi.

    Dans l'art

    Le thème de la malédiction est utilisé comme intrigue dans certaines œuvres d'opéras ou de théâtres, parmi lesquelles:

    Rigoletto. Le comte Monterone lance une malédiction contre Rigoletto et le duc de Mantoue qui va les suivre jusqu'à la fin.
    Malédiction des Labdacides.

    Bibliographie

    (en) Alan Warren, « The Curse », dans S. T. Joshi (dir.), Icons of Horror and the Supernatural : An Encyclopedia of Our Worst Nightmares, vol. 1, Westport (Connecticut) / Londres, Greenwood Press, 2007, 796 p. (ISBN 978-0-313-33780-2 et 0-313-33781-0), p. 129-159.

    Toutefois, donc Tous les textes sont formels. Peu importe la malédiction.
    Elle peut être lancée à partir d'un nom, d'un visage, d'une photo.
    Une vidéo d'une bande son.
    Ou bien d'un pseudonyme qui pourrait être trouvé sur Internet À ce moment là Les personnes seront pourchassées, A condition de savoir ou chercher.
    Au début, ce sera lent.
    Très faible.
    Avant de gagner en force .
    Et devenir plus oppressant. Plus terrifiant.
    La seule réelle façon d'y échapper, Sera De retrouver le lieu Et de détruire ce qui a été fait Autant dire Que cela sera Très compliqué.
    Mais pas impossible Il faudra également s'occuper de l'incantateur.

    De nombreux textes en parle .
    J'ai eu beaucoup de mal à me procurer des textes officiels Mais toutefois. Une affaire de police parle d'une sorcière.
    Qui aurais jeté un Sort à un homme Pour le simple fait qu'il aurait refusé ses Avance.
    L'homme commençait par voir des choses. Avant de ressentir des agressions physiques contre lui D'être oppressé en permanence Avant que l'enquête se base sur un suicide. Bien que pour montrer qu'il était tué Mais l'homme qui était devenu paranoïaque s'était mis à installer plusieurs caméras chez lui. Autant dire que les enquêteurs ne savaient quoi penser quand ils le voyaient être Lever au sol par le vide lui-même. Était-ce réellement une sorcière ? Ou un membre d'une Secte ?
    Toutefois Alors que De nouvelles pièces viennent d'arriver. Il semblerait qu'elle soit liée À la même secte de la légende D'Umbraël .

      La date/heure actuelle est Ven 22 Nov 2024 - 4:19